Mine de plomb, encre, aquarelle, pastel grasse, journal scotché
Les expressions sur l’argent, expliquées historiquement, illustrées au premier degré.
Cette expression singifie que l’on bénéficie de quelque chose graduitement, payé par une personne riche, une entreprise ou une administration.
On l’emploie depuis 1828.
Au XIXᵉ siècle déjà, on disait “avoir un repas à l’œil“, pour signifier qu’on l’obtenait à crédit.
> Lire la suiteCette expression pourrait provenir de “ne payer que de sa personne“, qui signifie que celui qui rendait un service ne le faisait sans aucune autre garantie que l’apparence de son client.
Également, on disait en provençal : “compra à l’uéti“ qui signifiait “acheter sans peser“, donc acheter en estimant seulement le poids.
Ensuite est apparue l’expression “faire un œil à quelqu’un“ pour figurer qu’on lui faisait crédit. Par extension, “consommer à l’œil“ aurait pris le sens de “gratuitement“.
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L’usage de cette expression est très récent puisqu’il date du début des années 1980.
> Lire la suiteLe bon sens paysan veut qu’on ne puisse pas, honnêtement, vendre le beurre qu’on vient de fabriquer, en garder l’argent, mais garder aussi le beurre, histoire de pouvoir le revendre encore et encore.
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C’est une expression faisant référence à la Bible. En effet, dans la Genèse (chapitre 3, verset 19), on peut lire :
> Lire la suite“Tu mangeras ton pain à la sueur de ton visage jusqu’à ce que tu retournes dans la terre d’où tu as été tiré“.
Il est vrai que le pain est depuis toujours le symbole du travail, ou encore de la récompense reçue en échange d’un rude labeur. “Gagner son pain à la sueur de son front“ signifie que l’on gagne de quoi se nourrir soi-même, et ce par le biais du travail.
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Pour être autorisés à entrer dans Paris, les marchands ambulants devaient emprunter le pont aux Changeurs.
> Lire la suiteL’Argent étant rare, on pouvait s’acquitter de son droit d’entrer dans la Cité en rubans, aiguilles ou autres marchandises.
Seuls les jongleurs étaient exemptés de cette obligation pécuniaire et pouvaient payer le droit de passage par “pitrerie“ : ils jonglaient ou faisaient danser leur singe, d’où l’expression qui nous est parvenue.
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Pour vérifier le bon aloi d’une pièce, on la faisait tomber sur une surface dure.
> Lire la suiteEn fonction de la manière dont elle sonnait on pouvait savoir si elle contenait une quantités uffisante d’or ou d’argent.
On pesait également les pièces sur une balance très précise, le trébuchet, afin de vérifier leur poids légal. De fait une piéce “sonnante et trébuchante“ était une pièce légalement admise à circuler.
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Illustration du lien entre l'obésité et la télévision
Il était une fois un prince qui voulait épouser une princesse, une VRAIE princesse…
> lire la suiteNon mais c'est pas écrit Wikipedia là ! x Fermer
Me posez pas la question je ne suis pas sûre d’avoir compris, ou si, et c’est pire.
Aprés une tempête. Et il faut qu'elle soit blonde non ?
À la vue de la “vraie” princesse
Parce qu’il est bien connu que pour être une vraie princesse il faut avoir la peau sensible et qu’un petit pois c’est tellement dur que ça passe à travers plusieurs couches de matelas.
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Une gamine, avec ou sans boucles dorées, qui entre par effraction, qui mange dans l'assiette des autres, casse le mobilier et se couche dans leur lit, ce n'est pas un petit ange mais plutôt un vrai démon. Maison d'ours ou pas.
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